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études

  • L'œuvre de la semaine (306) : une étude de fond bleuté

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    N° d'inv. 732. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    L'immense œuvre d'Yves Juhel regorge d'études, documents de travail, croquis et autres essais, souvent non signés et non datés. C'est le cas de cette gouache peinte sur papier, au format 50x49.

    Ni griffe de l'artiste, ni mention d'une quelconque date, pour ce qui ressemble très fortement à une étude de fond pour certaines de ses séries d'huiles, réalisées en 2000 et 2001. On pourrait en effet y retrouver l'esprit et la technique, exprimés sur toile en bien plus grande dimension, de bouquets éclatés (comme le N° 183), voire du Grand cerf (N° 179). Le format presque carré de l'étude, forme utilisée aussi pour ces œuvres majeures, va de le sens de cette parenté.

    O. D.

  • L'œuvre de la semaine (301) : portrait esquissé

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    N° d'inv. 217. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    Treize études au fusain, réalisées par Yves Juhel entre le 5 et le 13 avril 1996, sont répertoriées dans l'inventaire consacré à son œuvre. Ces portraits énigmatiques, voire inquiétants et fantastiques, ont été dessinés sur papier, à l'image de ceux portant les N° 224, 228 et 229, déjà présentés ici. Cinq d'entre eux sont datés du 10 avril. C'est le cas de celui-ci, dessiné sur une feuille au format 64x45. Une étude qui n'est pas signée.

    O. D.

  • L'œuvre de la semaine (295) : seul, abattu, accoudé

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    N° d'inv. 277. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    L'homme est seul, épaules voûtées, abattu, accoudé à une table ou à un comptoir, sans visage, ses traits se fondant dans un décor gris et neutre. Ce dessin, réalisé en 65x50 au crayon ou au fusain, s'inscrit dans une série datée de 1990. Yves Juhel est alors l'auteur de plusieurs œuvres qui dépeignent misère, solitude, déchéance, harassement, mettant en scène des personnages aux contours grossiers. 

    Difficile de savoir si les dessins sont ici des travaux préparatoires aux huiles qu'il peint dans le même temps. Beaucoup semblent s'interpeler et se répondre. Ce dessin n'en reste pas moins signé et daté de l'année 1990.

    O. D.

  • L'œuvre de la semaine (292) : d'après le Saint André, de José de Ribera

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    N° d'inv. 260. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    Yves Juhel a laissé de nombreuses études, de nombreux travaux préparatoires, de nombreuses œuvres inachevées. Du 10 au 19 mai 1995, il s'est ainsi essayé à dessiner d'après de œuvres de grands maîtres. Treize visages, très académiques, sont ainsi répertoriés pour cette période, dans l'inventaire de ses œuvres.

    Ce portrait de saint André reproduit ainsi, au format Raisin, un détail d'un tableau peint par José de Ribera (1591-1652) vers 1631 et exposé au musée du Prado, à Madrid. Yves Juhel y mêle fusain, sanguine, craie blanche et gouache, travaillant sur les contrastes entre ombre et lumière. Le tableau d'origine présente le saint torse nu, tenant sa croix dans sa main gauche. Yves Juhel n'en a retenu que le visage, sujet de ses travaux à ce moment.

     

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    Saint André, huile sur toile (c. 1631), par José de Ribera

     

    Cette étude n'est pas signée, mais datée du 10 mai 1995. Le nom de José de Ribera figure entre parenthèses sous la date.

    O. D.

  • L'œuvre de la semaine (278) : paysage calciné et orageux

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    N° d'inv. 612. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    Après la mort d'Yves Juhel, durant l'été 2003, plusieurs pochettes ont été retrouvées dans son atelier, en Corse. L'une d'elle contenait quelque 27 gouaches sur papier. Fonds ? Etudes ? Elles ne sont ni datées, ni signées, à l'image de celle-ci, semblant figurer un paysage sombre et calciné, dans le couchant, sur lequel pèserait un ciel d'orage.  Une gouache au format 32,5 x 50. A noter qu'une autre pochette contient une quinzaine d'œuvres équivalentes.

    O. D.