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  • L'œuvre de la semaine (292) : d'après le Saint André, de José de Ribera

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    N° d'inv. 260. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    Yves Juhel a laissé de nombreuses études, de nombreux travaux préparatoires, de nombreuses œuvres inachevées. Du 10 au 19 mai 1995, il s'est ainsi essayé à dessiner d'après de œuvres de grands maîtres. Treize visages, très académiques, sont ainsi répertoriés pour cette période, dans l'inventaire de ses œuvres.

    Ce portrait de saint André reproduit ainsi, au format Raisin, un détail d'un tableau peint par José de Ribera (1591-1652) vers 1631 et exposé au musée du Prado, à Madrid. Yves Juhel y mêle fusain, sanguine, craie blanche et gouache, travaillant sur les contrastes entre ombre et lumière. Le tableau d'origine présente le saint torse nu, tenant sa croix dans sa main gauche. Yves Juhel n'en a retenu que le visage, sujet de ses travaux à ce moment.

     

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    Saint André, huile sur toile (c. 1631), par José de Ribera

     

    Cette étude n'est pas signée, mais datée du 10 mai 1995. Le nom de José de Ribera figure entre parenthèses sous la date.

    O. D.

  • L'œuvre de la semaine (291) : le chien attentif

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    N° d'inv. 654. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    Durant l'été 2001, la vaste série animalière d'Yves Juhel s'apparente à un immense bestiaire représentant une foule d'espèces. Parmi elles, les chiens sont très présents.   En juillet, il y a une petite série mêlant encre et gouache (voir le N° 382). Du 10 au 29 août, il enchaîne les représentations, à la gouache mais aussi à l'huile (voir ainsi le N° 321). Le 31 août, il cumule les dessins au fusain (voir le N° 525 ou le N° 513).

    Cinq œuvres sont datées de la seule journée du 25 août. On a par exemple déjà vu ici le N° 642 et le N° 648. Celle que nous présentons cette semaine est de la même veine. De l'encre et du fusain pour les contours, de la gouache pour la matière et un fond très dilué, le tout sur une feuille de 65,5x50. L'animal est attentif, interpelé par celle ou celui qui le regarde.

    La date à laquelle elle a été peinte figure au recto, au côté de la signature de l'artiste.

    O. D.

  • L'œuvre de la semaine (291) : étude d'écureuil

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    N° d'inv. 817. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    Lançant une longue séquence d'œuvres animalières, Yves Juhel prend son fusain, le 1er juin 2001, et réalise une douzaine d'études de petites bêtes des bois, sur papier. Des dessins non signés, esquissant une faune charmante en quelques traits rapides et efficaces. (Voir, entre autres, les N° 819, 814 et 815). Cet écureuil saisi sur le vif a été dessiné sur une feuille au format 23x21.

    O. D.

  • L'œuvre de la semaine (290) : contrastes du soir

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    N° d'inv. 107. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    L'œuvre immense d'Yves Juhel compte une multitude de paysages, de tous formats. Parmi eux, de nombreux tableaux de petite dimension, peints entre 1996 et 2001, dont on peut retrouver la liste en cliquant ici

    Celui que nous présentons cette semaine a été peint le 11 mars 1997, comme indiqué au verso. Ce petit paysage, peint à l'huile sur une toile de 24x16, fait partie d'une sous-série de tableaux verticaux, dans lesquels ciel et terre se superposent en strates contrastées, entre labours nus hivernaux et nuées orageuses vespérales. Voir ainsi les œuvres inventoriées sous les N° 102, 110, 112 et 120

    Cette toile n'est, hélas, pas signée.

    O. D.

  • L'œuvre de la semaine (289) : couronné de lauriers

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    N° d'inv. 412. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    Cette œuvre d'Yves Juhel appartient à la série des portraits peints en 2003, composée de près de 70 gouaches sur papier. Et plus précisément à la première des trois sous-séries, réalisée en mars. Ce portrait date ainsi des 19, 20 et 23 mars.

    Schématisé à l'extrême, on y retrouve les particularités de la série : plumets et oeil unique, dans une silhouette en forme de coupe, triangle en bas et visage plus circulaire mais ouvert au sommet, ressemblant à un empereur romain couronné de lauriers. Les traits sont ici très marqués, et contrastent avec un fond très dilué, entre mauve pâle et beige. Des coulures sortent du faux cadre, dans la partie inférieure, indiquant que le peintre n'a pas peint cette série à plat, mais sur un support vertical.

    O. D.