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chien

  • L'œuvre de la semaine (309) : le basset

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    N° d'inv. 517. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    Le 31 août 2001, Yves Juhel signe seize dessins de chiens. Trois d'entre eux ont déjà été présentés sur ce blog (N° 513, 520 et 525). Après le lévrier, le bouledogue et le teckel, en voici un quatrième : le basset. 

    Nous sommes là au cœur du grand bestiaire peint par l'artiste durant l'été 2001. Mais ce jour-là, il abandonne ses pinceaux, et réalise plusieurs études. Des dessins sur papier au format Raisin, tous datés, mais non signés, travaux préparatoires à des œuvres peintes et signées, celles-là, qui donneront vie à d'autres chiens.

    O. D.

  • L'œuvre de la semaine (291) : le chien attentif

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    N° d'inv. 654. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    Durant l'été 2001, la vaste série animalière d'Yves Juhel s'apparente à un immense bestiaire représentant une foule d'espèces. Parmi elles, les chiens sont très présents.   En juillet, il y a une petite série mêlant encre et gouache (voir le N° 382). Du 10 au 29 août, il enchaîne les représentations, à la gouache mais aussi à l'huile (voir ainsi le N° 321). Le 31 août, il cumule les dessins au fusain (voir le N° 525 ou le N° 513).

    Cinq œuvres sont datées de la seule journée du 25 août. On a par exemple déjà vu ici le N° 642 et le N° 648. Celle que nous présentons cette semaine est de la même veine. De l'encre et du fusain pour les contours, de la gouache pour la matière et un fond très dilué, le tout sur une feuille de 65,5x50. L'animal est attentif, interpelé par celle ou celui qui le regarde.

    La date à laquelle elle a été peinte figure au recto, au côté de la signature de l'artiste.

    O. D.

  • L'œuvre de la semaine (269) : "Le chien de Jacques mort"

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    N° d'inv. 572. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    "Le chien de Jacques mort"... Drôle de titre pour cette œuvre mêlant encre et gouache sur papier au format 50x65, et qui paraît représenter un chien bien vivant. C'est du moins ce que semble indiquer l'inscription, que nous avons quelque difficulté à décrypter.

    Bien claires sont en revanche la signature de l'artiste et la date : le 13 juillet 2001. Un jour important dans le bestiaire d'Yves Juhel, avec pas moins de huit animaux portant cette mention : deux papillons, marquant la fin de cette série d'insectes, et six mammifères, cinq chiens (N° 381, 382 et 652) et un félin, peints selon la même technique, entre contours à l'encre noire et taches très diluées faites à l'encre ou à la peinture. 

    A noter que dans l'immense bestiaire d'Yves Juhel, le chien est souvent présent, sous différentes formes : huiles, dessins, gouaches, etc. 

    O. D.

  • L'œuvre de la semaine (258) : deux chiens et une balle

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    N° d'inv. 779. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    Dans le parcours d'Yves Juhel, les vastes séries succèdent parfois à des périodes de recherche, d'études, phases importantes dont l'artiste a laissé de nombreux témoignages, le plus souvent sous la forme de dessins.

    Le 17 mars 1996, il représente ainsi des chiens, en action, sur deux dessins à l'encre. Les animaux sont esquissés d'un trait vif, accentuant la sensation de mouvement. Ici, on les voit jouer avec une balle. 

    Ce dessin, hélas non signé, a été réalisé sur une feuille de papier de 32x40. Une feuille très tachée, notamment du fait de l'humidité.

    O. D.

  • L'œuvre de la semaine (238) : le scottish terrier

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    N° d'inv. 53. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    Dans sa frénésie animalière de l'été 2001, Yves Juhel a peint toutes sortes d'animaux, tant sauvages que familiers. Et parmi eux, de très nombreux chiens, comme ce scottish terrier (c'est le titre de l'œuvre, inscrit au verso), peint à l'huile sur une toile de 50x50.

    L'animal est de profil, à l'arrêt. Seuls les contours sont peints en noir. Le corps est parsemé de taches, noires elles aussi, et un peu de gris en nuages habille le fond. La composition est simple. L'originalité, c'est cette couche de rouge, peinte à la brosse, à peine imprégnée, en larges bandes horizontales, comme si le chien paradait derrière un mince voile de tissu.

    Au dos, outre le titre et la signature de l'artiste, apparaissant deux dates : les 9 et 13 septembre 2001. Une période particulièrement faste, pour l'artiste. Ainsi, la seule date du 9 est mentionnée comme la première sur de nombreuses autres œuvres, comme si ce jour-là, l'artiste avait posé devant lui plusieurs toiles vierges, avant de les prendre toutes en main, et de les développer les jours suivants. Un autre chien (N° 22), un cochon (N° 31), un cheval (N° 24), une chèvre (N° 300), une vache et son veau (N° 333)... Voici quelques-uns de ces tableaux, de toutes dimensions, commencés le 9 septembre 2001 et achevés quelques jours plus tard. 

    O. D.