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huile - Page 5

  • L'œuvre de la semaine (297) : le mouton au regard vide

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    N° d'inv. 359. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    Un mouton de profil, le regard vide, sur un fond lumineux, blanc de neige, en contraste avec la toison noire de l'animal, sur laquelle se projettent des jeux de transparence... Cette œuvre d'Yves Juhel s'inscrit dans la série animalière qu'il peint, durant tout l'été 2001. Quatre dates figurent au dos de cette huile sur une toile de 61 x 115,5 : les 9, 11, 13 et 16 septembre 2001. Quant à la signature de l'artiste, elle apparaît au recto, gravée dans la peinture. 

    Durant cette période, Yves Juhel produit énormément. Les animaux qui rejoignent son bestiaire défilent à un rythme fou, dans tous les formats. A titre d'exemple, à la mi-septembre 2001, il achève plusieurs de ses toiles majeures. A l'mage du Grand cerf (N° 179), de la vache et de son veau (N° 333), mais aussi de tableaux en moyen format (N° 34) ou en petit format (N° 42, N° 137).

    O. D.

  • L'œuvre de la semaine (294) : dans le reflet d'un plan d'eau ?

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    N° d'inv. 87. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    L'inventaire des œuvres laissées par Yves Juhel dénombre treize tableaux peints entre l'automne 2000 et le printemps 2001, pouvant former une série. Des paysages, peints à l'huile, en petit et moyens format, et qui précèdent le vaste bestiaire de l'été 2001. La période est riche, voire un peu dispersée, pour l'artiste. Ces mêmes mois, on le voit aussi peindre des paysages en grand format, des bouquets éclatés, des cyclopes...

    Deux sous-périodes semblent se distinguer avec six œuvres peintes entre mars et avril 2001, auxquelles s'ajoute une non datée. C'est celle que nous présentons cette semaine. Une huile sur toile de 38x46,5, similaire de celle inventoriée sous le N° 88,  tant par ses dimensions que par son style.

    Nous semblons y voir un paysage. Ou peut-être un plan d'eau dans lequel se reflette un ciel paré de couleurs vespérales. A moins qu'il ne s'agisse d'une variante des fameux bouquets éclatés, aux fleurs blanches éparses autour d'un noyau aux couleurs chaudes. L'artiste n'a laissé aucune indication à ce sujet. Il n'a par ailleurs ni daté, ni signé son œuvre.

    O. D.

     

  • L'œuvre de la semaine (290) : contrastes du soir

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    N° d'inv. 107. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    L'œuvre immense d'Yves Juhel compte une multitude de paysages, de tous formats. Parmi eux, de nombreux tableaux de petite dimension, peints entre 1996 et 2001, dont on peut retrouver la liste en cliquant ici

    Celui que nous présentons cette semaine a été peint le 11 mars 1997, comme indiqué au verso. Ce petit paysage, peint à l'huile sur une toile de 24x16, fait partie d'une sous-série de tableaux verticaux, dans lesquels ciel et terre se superposent en strates contrastées, entre labours nus hivernaux et nuées orageuses vespérales. Voir ainsi les œuvres inventoriées sous les N° 102, 110, 112 et 120

    Cette toile n'est, hélas, pas signée.

    O. D.

  • L'œuvre de la semaine (285) : coquelicots éclatés

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    N° d'inv. 20. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    Trente-trois... C'est le nombre d'œuvres que compte la série des "bouquets éclatés", peinte par Yves Juhel du printemps 2000 au printemps 2001. Un magma explosif, parfois quelques tiges (absentes ici), et des fleurs comme des papillons, le tout peint à l'huile, sur des toiles de grand format... Telles sont les grandes lignes de cette série majeure dans le parcours de l'artiste.

    Dans celle-ci, une multitude de nuances d'orange se mêlent et s'entrechoquent, d'un cœur vif aux marges tendres. Le centre laisse percer des points jaunes, pépites de matière semblant s'échapper du tableau. Tout comme ces cinq fleurs de coquelicot d'un rouge profond, contrastant fortement avec le fond. 

    Cette toile pourrait avoir été produite en cinq temps, dates inscrites au verso : les 6, 9, 10, 12 et 14 août 2000.  Comme la plupart des œuvres de cette série peintes à ce moment, ses dimensions (150x150) sont un peu plus modestes que celles du printemps (souvent en 180x180).

    O. D.

  • L'œuvre de la semaine (284) : le saule lumineux

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    N° d'inv. 61. Prix : nous contacter. Photo O. D.

     

    Les années 1994 et 1995 sont marquées, dans l'œuvre d'Yves Juhel, par une série d'arbres, souvent flamboyants, peints en différents formats, à l'image de celui-ci.

    Seul au sommet d'une colline rouge brun, se découpant sur un ciel rosé évoquant un coucher de soleil, cet exemplaire pourrait s'apparenter à un saule pleureur. Son tronc est clair, lumineux, et sa forme, aux branches tombantes, épouse de denses coulures de peinture, entre jaune et blanc, matière donnant du relief à l'arbre.

    La dimension est ici modeste : 38,5x29. La toile a été encadrée par l'artiste. Seule l'année de sa réalisation figure au côté de la signature, au verso : 1995.

    O. D.