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chien - Page 2

  • L'œuvre de la semaine (222) : le chien tout penaud

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    N° d'inv. 381. Prix : nous contacter. Photo O. D.

     

    Le 13 juillet 2001, Yves Juhel peint sur papier (50x65) six chiens (ou cinq chiens et une panthère ?), mêlant aquarelle et encre, à l'image de ceux inventoriés sous les N° 382 et 652. Cette série en précédera une autre, datant de fin août 2001, et composée de gouaches, d'huiles et de fusains.

    Dans cette série de juillet, les contours des animaux sont dessinés à l'encre, d'un trait tout en mouvement. Assis, voûté, penaud, on ne sait si ce chien exprime la crainte ou la sérénité, le regard étant vide. Ici, le gris de l'aquarelle donne leur couleur aux taches qui parsèment sa robe.

    O. D.

  • L'œuvre de la semaine (216) : le bouledogue

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    N° d'inv. 321. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    Le bestiaire de l'été 2001 d'Yves Juhel compte de nombreux chiens. Si la plupart ont été peints ou dessinés fin août (Voir, par exemple, ceux inventoriés sous les numéros 41 ou 648), celui-ci a toutefois été commencé plus tôt, comme l'indiquent les différentes dates inscrites au verso : les 10, 13, 17, 19 et, pour finir, 29 août.

     

    En grand format

    Il n'en reste pas moins qu'il s'inscrit dans l'esprit de cette vaste série animalière, et plus précisément dans la lignée des grands formats peints à l'époque par l'artiste, tels le grand cerf (N°179) ou le cheval vert (N°335).

    Ce bouledogue (l'artiste l'a ainsi identifié, au dos du tableau) a été peint sur une toile de dimensions plus que respectables, 161x180. Ce qui lui donne une certaine majesté, avec sa mine sérieuse et ses grandes oreilles, sur un fond très élaboré, de gris et de roses mêlés.

    O. D.

  • L'œuvre de la semaine (200) : le teckel

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    N° d'inv. 525. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    Le 31 août 2001, en pleine série animalière, Yves Juhel prend son fusain et une pile de feuilles, et se met à dessiner, dessiner, dessiner... Au total, seize dessins sont datés de ce jour d'été. Seize études de chiens, de toutes races, dans des attitudes diverses, dont deux ont déjà été présentés sur ce blog (513, 520). Après le lévrier et le bouledogue, voici donc le teckel.

    Comme les autres, ce dessin n'est pas signé. Et il est rangé dans un classeur indiquant que ces œuvres ont été réalisées à Issy-les-Moulineaux, alors que l'artiste était encore dans les ateliers collectifs de l'Artsenal.

    O. D.

  • L'œuvre de la semaine (188) : petit et fier

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    N° d'inv. 648. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    Dans le bestiaire d'Yves Juhel, les chiens tiennent une très bonne place. L'artiste s'est plu à les représenter dans diverses attitudes, jouant avec les différentes races canines. Voici ici une sorte de petit terrier ébouriffé, assis et assez fier, peint de face. 

    Yves Juhel en a esquissé les contours à l'encre et au fusain, avant de s'emparer de la gouache, tant pour l'animal que pour le fond jaune. 

    Cette œuvre a été peinte le 25 août 2001, comme indiqué sous la signature, dans le coin inférieur droit. En cette fin août, l'artiste a ainsi peint de nombreux chiens, de toutes dimensions et sur tous supports, et plusieurs portent cette date du 25, à l'image du N° 642.

    O. D.

  • L'œuvre de la semaine (174) : le chien mort

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    N° d'inv. 7. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    Yves Juhel a peint et dessiné de nombreux chiens durant sa trop courte carrière. Mais une seule fois un chien mort : le voici... Une œuvre sombre, d'autant plus spectaculaire qu'elle a été peinte sur une toile de grand format (194,5 x 114). Les côtes sont saillantes, le pelage terne, les yeux clos, et la posture ne laisse que peu de doutes : il s'agit bien ici d'un cadavre.

    De nombreuses dates ont été inscrites au dos de cette toile par l'artiste. A n'en pas douter, si Yves Juhel a sans doute passé du temps à peindre le sujet, il en a également consacré beaucoup au fond, comme sur toutes les huiles en grand format qu'il a peintes durant ces années 2000 et 2001. Une énergie dépensée sur les fonds confirmée par ses amis artistes de l'époque. La première date qui apparaît est celle du 20 mai 2000. Puis suivent les 1er, 2, 5 et 15 juin, les 22, 28 et 30 juillet, et le 2 août. Avant une ultime date le 1er août 2001. Soit une année entre l'avant-dernière et la dernière intervention. S'agit-il d'une erreur de date de l'artiste ? Ou d'une ultime retouche avant que l'œuvre ne soit considérée comme réellement achevée ? Seul Yves Juhel aurait pu le dire, lui qui n'a d'alleurs pas signé cette toile.

    O. D.