Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • L'œuvre de la semaine (251) : un singe en noir et blanc

    Vignette 552.jpg

    N° d'inv. 552. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    La vaste série animalière peinte par Yves Juhel durant l'été 2001 se compose de plusieurs sous-séries, à l'image de celle consacrée aux singes. Sept œuvres, huiles et gouaches, peintes en quelques jours, entre le 10 et le 14, dont une grande partie sur cette seule et unique dernière journée. C'est le cas de sept jolie gouache, très diluée, permettant de dresser un portrait de l'animal, de profil, tout en nuances, du noir au blanc. Une œuvre peinte sur une feuille de papier au format 65x50.

    O. D.

  • L'œuvre de la semaine (250) : visage lunaire

    Vignette 229.jpg

    N° d'inv. 229. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    En avril 1996, Yves Juhel passe au fusain, le temps de quelques études.    Avec, du 5 au 13, une petite série d'une douzaine de portraits, dont est tiré le dessin que nous présentons cette semaine. Un dessin réalisé sur une feuille de 65x50, le 7 avril, comme indiqué dans le coin inférieur gauche, au recto, au-dessus de la signature.

    Comme pour les dessins répertoriés sous les N° 224 et 228, le visage est un brin énigmatique, inquiétant, voire fantastique. Sa rondeur, presque pouponne, lui donne ici un aspect lunaire, amplifié par une expression neutre et une trinité yeux-nez-bouche à peine esquissée.

    O. D. 

     

  • L'œuvre de la semaine (249) : sept fleurs de sang

    Vignette 13.jpg

    N° d'inv. 13. Prix : nous contacter. Photo : O. D.

     

    Difficile de faire plus éclaté que ce boulet peint par Yves Juhel en 2000. Ce tableau appartient à une série majeure peinte par l'artiste, durant les deux premières années du millénaire. Série dans laquelle, à partir d'un fond très travaillé et d'un noyau magmatique, il fait exploser des gerbes de fleurs, essaimant pétales et tiges sur la toile. Les œuvres sont ici pleines de matière, en trois dimension, et le plus souvent peintes sur de grands châssis de forme carrée.

    Sur cette toile, peinte en 150x150, le fond, d'un ton pastel saumoné, contraste peu avec le noyau jaune. Ce qui fait d'autant plus jaillir les sept fleurs de sang coagulé, sombres, l'une d'entre elle sortant même quasiment du tableau, dans sa partie supérieure. Au cœur du magma, elles semblent avoir laissé la trace colorée, orangée, du bouquet initial.

    Six dates figurent au dos de la toile, concentrées au mois d'août 2000 : les 8, 9, 12, 14, 15 et 27. Un tableau qui, hélas, ne présente aucune signature apparente de l'artiste.

    O. D.